vendredi 29 novembre 2013

"Au risque de me perdre" aux éditions 999


                          « Mon corps est un jardin, ma volonté est son jardinier » William Shakespeare


Je lui dis alors :
«Pourquoi ?  Dis-moi pourquoi ? Que faisais-tu tous ces jours devant l'écran de l'ordinateur ? Tu y es restée durant des semaines, tu ne sortais jamais, tu y passais, sept heures, huit heures, et, tu ne disais jamais ce que tu faisais. Pourquoi ?
- Un jour, tu sauras.
- Pourquoi un jour ? Pourquoi pas maintenant ?
- Je ne sais pas. Ce n'est peut être pas le moment. Pas envie de parler, de raconter, d'expliquer. L'histoire est douloureuse. La plaie ne s'est pas encore refermée.
- Justement, si elle est douloureuse, il faut que tu en parles.
- Tu crois ? »
Elle fait la moue, plisse ses sourcils, et comme toujours, quand elle s'interroge, elle repousse d'un geste brusque cette frange trop longue et tire sur cet « accroche cœur » qui l'agace !
«  Tu penses que c'est le moment ? » Insiste-t-elle pour se persuader peut être.
«  Pourquoi pas ? Tu dis toujours que lorsqu'il y a un problème, il faut en parler, il faut une oreille qui t'écoute. Je suis là. Parles moi !
- Peut être. Alors, je vais essayer de te raconter. Pour que les gens apprennent ce qui se passe ailleurs, pour qu'ils comprennent que des choses doivent changer. Pour toi, pour eux, je vais essayer. »
Je crois que c'est le moment. Doucement, sans faire de bruit, je vais chercher le magnétophone que j'avais préparé depuis longtemps, et, je vais la laisser défiler ses souvenirs, parler, vider son sac parce que je sais qu'il le faut…. pour elle, pour eux, il le faut aujourd’hui.

Julie, cette fine silhouette aux cheveux blonds et yeux bleus, c'est Gaby à vingt ans, avec ses illusions, ses rêves, ses désirs de bouleverser le monde. Gaby, c'est Julie, rêves et illusions en moins mais, avec le prénom qui lui aurait convenu, qu'elle aurait désiré et qui lui allait si bien. avec ce côté facétieux et joyeux ! ..
Gaby va à travers ce « flashback » révéler à Julie ce que sont devenus ses rêves. Ce que la vie et les hommes en ont fait !
La Julie enthousiaste va découvrir la Gaby désabusée !
Pour découvrir le livre et le télécharger gratuitement, cliquez sur le lien suivant  :  "Au risque de me perdre")





dimanche 17 novembre 2013

Une page de l'histoire d'Albi : le cimetière oublié de l'hôpital d'Albi.




Ce samedi matin 18 novembre, nous étions un bon groupe AVF (Accueil des Villes Françaises) à nous retrouver, malgré le froid,  devant le monument aux morts afin de marcher dans les pas de Francis Carrade , membre de l'association pour la sauvegarde du vieil Alby, accompagné de Gérard Alquier, professeur retraité d'histoire qui terminera sa carrière au lycée Lapérouse.
Nous allions faire une promenade dans le cimetière de l’hôpital d’Albi, connu de bien peu d’Albigeois.

Planté d’ifs et de cyprès, face à la cathédrale Ste Cécile, le terrain sera acheté par la ville d’Albi à l’Evêché en 1772. Après la révolution, le cimetière est abandonné par la mairie et l’hôpital en assurera l’entretien.
En 1827, le cimetière des Planques  est créé et celui de l’hôpital totalement abandonné par la municipalité.
Parmi les 306 tombes, une trentaine seulement sont entretenues et 136 sont en très mauvais état : dalles cassées, ouvertures béants, inscriptions illisibles…..
Des indigents décédés à l’hospice reposent là mais, également des descendants de familles illustres  qui ont voulu se mêler aux pauvres.
C’est avec passion et beaucoup d’humour que F.Carrade et G.Alquier vont nous conter la vie de quelques-uns de  ceux qui reposent là.

Parmi eux :
-         L’architecte Jean-François Mariès (une rue porte son nom) y repose depuis 1851. Il n’hésitera pas à écrire au Ministre de l’intérieur Rolland en 1792 pour sauver la cathédrale dont le chœur devait être démoli et les fresques recouvertes de badigeon. Quand on évoque cette période de la révolution, on se souvient que de nombreuses des têtes sont tombées pour bien peu ! J.F  Mariès a eu un sacré courage en se faisant , dans cet époque troublée, le défenseur d’un édifice religieux !
 -          Charles de Toulouse Lautrec et son épouse.  Il était l’oncle du peintre célèbre.  Charles était un homme généreux et pieux. Il vivait à l’Hôtel du Bosc et en avait fait un centre de charité pour aider les plus démunis auprès desquels il dort aujourd’hui.
 -      Les religieuses de l’ordre de la Charité de St Vincent de Paul qui soignaient bénévolement les malades, les enfants abandonnés
-          Monseigneur Charles Brault, premier archevèque d’Albi.
-          Marc Antoine Schoelcher, frère ainé de l’abolitionniste de l’esclavage, Victor Schoelcher.
-          Et, bien d’autres familles célèbres : Famille Séré de Rivières, Monseigneur Gualy,  Famille de Rosières……ect.


Si cela vous intéresse, allez donc à la Maison du Vieil Alby faire l’achat du petit fascicule écrit par Francis Carrade : « Le « Cimentèri Viélh » de l’hôpital d’Albi.

Aujourd’hui, l’association du Vieil Alby se bat pour la conservation de ce vieux cimetière.
Qu’il ne meure pas oublié de tous mais, qu’il devienne un lieu de promenade et de méditation face à la majestueuse cathédrale Ste Cécile.

Merci à F.Carrade et G.Alquier de nous avoir guidé dans cette promenade émouvante.
« Comme au creux du rocher vole l'humble colombe,
Cherchant la goutte d'eau qui tombe avant le jour,
Mon esprit altéré, dans l'ombre de la tombe,
Va boire un peu de foi, d'espérance et d'amour ! »(Victor Hugo )


vendredi 18 octobre 2013

C'était en 2009 ! Qu'en est-il aujourd'hui ??????

Quand je retrouve ce passage de "Au risque de me perdre", je m'interroge.....
Qu'en est-il aujourd'hui ? Je crains que ce ne soit encore le "bordel" !!!!
Dans les écoles primaires, la décision de cette demi-journée provoque une colère quasi-générale. Une réforme décidée alors que rien n'a été réfléchi ! 
Qui va s'occuper des enfants à partir de 15h ? 
Comment les communes pourront elles gérer financièrement ce surplus de frais ? 
Aucune anticipation mais, des réformes qui tombent au gré des envies des ministres ! 
Il faut bien que chacun y aille de sa petite réforme !!!!!

"A 45 ans, Luc Chatel se voit confier la lourde tâche de Ministre de l'Education Nationale.
De par sa formation, et son expérience de parlementaire puis de Secrétaire d'État, on pourrait espérer un changement de cap.
Mais ce qui inquiète est qu'il se définisse comme un libéral, considérant que la concurrence est le meilleur moyen de rendre l'économie florissante. Peut-on penser « concurrence » lorsqu'on parle « enseignement » ? Il est à espérer qu'il saura faire la distinction !
Les enseignants ont tendance à espérer qu'il leur faudrait un enseignant qui connaisse bien le métier.

Hélas ! l'expérience a prouvé qu'ils n'étaient pas aussi près des réalités qu’ils le pensaient. Entre le "dégraisseur de mammouths" (C.Alègre) et "le changeur de couches" (X.Darcos) on peut s'interroger.
 Le renouvellement ministériel a eu lieu à la période du bac. Deux sujets de philo ne peuvent qu’interpeller :
« Que gagne t-on à échanger ? » (série ES)
Avec ce changement de ministre, ce sujet est vraiment à l’ordre du jour ! Le gain de l’échange, nous ne le connaîtrons que plus tard mais, le changement génère souvent l’espoir…
Sujet de la série S qui porte sur les notions d'absurde et d'impossible.... 
Ce sujet a amené bien des personnes non-candidates au BAC à s'interroger.
« Ces désirs sont-ils du domaine de l'impossible ? »
-Un ministre à l’écoute des profs, des élèves, de toutes ces personnes qui sont sous ses ordres…
-Un ministre qui n’utilise pas l’agressivité des mots pour créer des tensions entre Service public et Service privé.
-Un ministre qui n’assiste pas avec indifférence au démantèlement de notre école de la République.
-Un ministre qui comprenne, qui tente de remédier aux maux de notre école, n’est-ce pas du domaine du possible! ?
Mais, tandis que le mouvement des enseignants « désobéisseurs » s’amplifie, Luc Chatel reste déterminé à poursuivre l’action entreprise par son prédécesseur !
Parmi ces enseignants, un directeur d’école élémentaire perdra son poste de direction, un enseignant Marseillais risque le licenciement, un prof d’histoire et géographie voit au bout de 25 années sa manière d’enseigner contestée. Il aura donc fallu 25 ans pour s’en rendre compte ? C’est incroyable !
Une épée de Damoclès au-dessus de la tête, ils attendent le verdict !

« Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux » (E de la Boétie)

Pourtant, tous n’ont qu’un désir :
-         aller vers une école meilleure et leur réflexion s’accompagne de dialogues avec les parents tout en assurant leur service.
-         Continuer à travailler et agir au mieux pour aider l’élève à trouver la voie qui l’aidera à s’épanouir dans sa vie d’adulte et de futur citoyen.
Ce n’est pas en punissant que le système peut s’améliorer mais en écoutant et en réfléchissant ENSEMBLE !

 
« Les poursuites disciplinaires contre les professeurs des écoles « désobéisseurs » iront à leur terme, il n’a pas de raison d’y mettre fin » (propos tenus par le ministre sur France Inter)

Finalement cet échange de ministre permettait d’espérer que ce qui était impossible hier ne le serait plus aujourd’hui.
« Est-il absurde de désirer l'impossible ? » -  …

« Au fond, Dieu veut que l’homme désobéisse. Désobéir, c’est chercher »…. En murmurant cette citation de Victor Hugo, Gaby reste pensive et interrogative…." (extrait de "Au risque de me perdre" )



dimanche 22 septembre 2013

Un extrait de "Au risque de me perdre"

Les éditions Praelego ayant eu des difficultés, j'ai pu récupérer mes droits.
Le présenter à un nouvel éditeur ne m'intéresse pas.
Je désire que ce livre vive tout simplement aussi, il sera dès fin novembre en lecture gratuite sur le site des "Edition 999".
Le premier titre donné à ce livre : "Des dessous pas très propres".....L'expérience m'a prouvée que j'aurais dû garder ce titre !!!!
Je vous souhaite une bonne lecture.....

Voici un extrait :

                                                       Que de lois sur l'éducation !
                           « L'éducation développe les facultés mais ne les crée pas »( Voltaire)

Ni mai 2008, ni mai 2009 n'auront été comme le prévoyaient certains un nouveau mai 1968 !

Quelques mouvements de grogne estudiantine et lycéenne ont marqué ce printemps là mais, rien de comparable à cette vaste révolte, de nature à la fois culturelle, sociale et politique dirigée contre le pouvoir gaulliste que fut mai 1968. Bien des lois ont été proclamées afin de transformer le système éducatif. Bien des débats ont été lancés. Bien des ministres de droite comme de gauche ont tenté de réformer. Chacun a voulu y mettre « sa patte » mais, qu'en reste-t-il aujourd'hui ?
Rendu gratuit en 1881 par J.Ferry, l’enseignement public devient en 1882 obligatoire et laïque. L’enseignement devient un droit pour tous. Le secondaire est encore réservé à une classe sociale aisée.
Ce sera ensuite « la valse » des ministres, pour des temps très courts parfois !
En mai 1968, Alain Peyrefitte se trouvera en situation difficile et Georges Pompidou ne fera qu’un passage « éclair »! Ce ne sera qu’un intérim avant l’arrivée de François Xavier Ortoli…Chacun arrive avec « sa réforme » et ses grandes idées, mais, le système scolaire va progressivement se dégrader…
En 1989 la loi Jospin va émettre le projet ambitieux d'amener 80% d'une classe d'âge au baccalauréat. Etait-ce un projet raisonnable ? Et, surtout, qu'est devenu le BAC après cette trop belle et trop utopique idée ?
François Bayrou, ministre en 1993, proposera une réforme qui visera à favoriser l’enseignement privé. La manifestation du 24 janvier 1994 réunira près d'un million de personnes afin de tenter de défendre l'école laïque et gratuite. Il dirigera aussi une réflexion sur la condition des professeurs et est à l'origine du baccalauréat actuel.
En juin 1997, Claude Allègre deviendra ministre et quittera ce ministère en mai 2000, laissant derrière lui la regrettable phrase : «il faut dégraisser le mammouth » ! Par la suite il niera avoir prononcé cela en public mais, il a ridiculisé les enseignants et fait beaucoup de mal à la fonction ! L’opinion publique jusque là plutôt favorable se divisera et des discours de dénigrement émergeront haut et fort.

Jack Lang occupera ce ministère en 1992 et 1993 ainsi que de mars 2000 à mai 2002. Durant son deuxième mandat, il désire renforcer la mobilité européenne des étudiants. Cette réforme obéit à la volonté d’harmoniser les cursus au niveau européen, permettant ainsi une reconnaissance des formations dans tous les pays de l’union.
Je découvre abasourdie ses dépenses inconsidérées aux frais du contribuable ! Il confie le soin à un artiste peintre, Pierre Alechinsky, de refaire la décoration du salon du ministère. Alechinsky avait déjà décoré entièrement une salle d'attente du ministère de la Culture lorsque Jack Lang était ministre. Lorsque celui-ci revient au ministère en 2000, il ressent le besoin de renouveler le mobilier et les meubles Louis XV vont être remplacés en partie par un mobilier beaucoup plus moderne. Il va faire appel à l'une des plus célèbres designers de l'époque, Andrée Putman et pour un coût de plusieurs dizaines de milliers d’euros, des meubles vont être réalisés sur mesure. 
Luc Ferry en mai 2002 succède à Jack Lang. Il lui sera reproché des aménagements coûteux ! Mais, il semblerait que les travaux aient été décidés par. Jack Lang ! Excellent philosophe, il est très loin de ce monde politique. C’est un « rêveur » ! Comme bien des ministres, il constatera la baisse de niveau et les problèmes posés par l’illettrisme. L’expérimentation en CP dédoublés ne durera que deux ans.
En 2004, François Fillon devient le nouveau ministre et le restera jusqu’en 2005. Un grand débat national public est organisé en 2005. Enseignants, parents d 'élèves. tous émettront des avis et des désirs. Quels enseignements en ont été tirés ?

Depuis mai 2007, Xavier Darcos assure cette difficile tâche ! Quel souvenir laissera t'il derrière lui ? Pour le moment, beaucoup d'idées mais… surtout des idées ! Quelques gaffes ! notamment lorsqu'il se permettra de juger le travail des professeurs des écoles qui exercent en maternelle. Pour lui, il suffit à ce niveau là de savoir changer les couches ! C'est triste d'entendre de tels propos de la part d’un ministre de l'éducation nationale. Rappelons-lui quand même que les enfants ne sont admis à l'école que s'ils sont considérés comme étant propres ! Il semble méconnaître ce métier et n'a pas conscience combien tout le travail de socialisation est important dans les jeunes années !

« Chaque changement de ministre donne lieu à un certain nombre d'aménagements dans les ministères. Untel décide de renouveler le mobilier, un autre de transformer certaines pièces en bureau ou en salle de travail. A chaque remaniement ministériel suit une série de réaménagement des locaux, plus ou moins coûteux. »
Où en est l'éducation nationale aujourd'hui ?
Pourquoi cette morosité dans les salles des profs ? Même les mouvements de grève s'essoufflent. De moins en moins de gens concernés, de plus en plus de profs écœurés, désabusés mais qui continuent malgré tout à s’investir auprès de leurs élèves et dans la vie des établissements.
Juin 2008 : quelques grèves très mal suivies… des suppressions de postes sont annoncées par le ministre Xavier Darcos. Les élèves manifestent. Les parents passent une nuit dans quelques établissements pour montrer leur mécontentement. La France rouspète mais… rien ne bouge. le gouvernement reste imperturbable
Tandis que le recul de l'âge de la retraite est annoncé, tandis que le ministre Christine Lagarde annonce que désormais, les chômeurs de plus de 57 ans et demi devront continuer à rechercher du travail,  « à cet âge là, on n'est pas fichu » clame-t-elle, tandis que des décisions concernant le chômage sont prises, tandis qu'on demande à tout le monde de faire des efforts… que fait l'Education Nationale ?
Que propose-t-elle au personnel confronté à des problèmes médicaux importants ou graves suite à une maladie ou un accident de travail ?
Quelles possibilités de reclassement offre-t-elle à ses employés de plus de 55 ans et qui désirent continuer à travailler ?

Hélas ! L'Education nationale ne propose rien mais essaie plutôt de se débarrasser de ce personnel gênant qui persiste à vouloir travailler ! Triste exemple ! Triste réalité ! Quelle reconnaissance pour ces personnes qui ont donné tant d'années à son service ! Cette impression de ne pas être reconnu... d'être jeté à la poubelle parce qu'on ne peut plus suivre la même ligne. Parce qu'un problème de santé vous empêche de continuer dans la même fonction. Impression désagréable de se sentir responsable d'avoir eu un accident, d'avoir voulu continuer à travailler après... Parce qu'on pense que c'est possible… Parce qu'on culpabilise à s'arrêter… Parce qu'on a le respect du travail… Alors, parce que vous posez problème, au lieu de vous aider, de reconnaître votre courage…. on vous montre du doigt…. on vous culpabilise .
Triste constat ! Ce qui est demandé aux entreprises n'est-il pas valable pour le service public ? Y aurait-il « deux poids et deux mesures » selon que vous appartenez au public ou au privé ?

Jeudi 26 juin : La Dépêche titre : « Le gouvernement a présenté hier ses mesures pour favoriser l'emploi des plus de 50 ans. »
La France détient le record du sous emploi des seniors de 60 à 64 ans dans l'Union !
Conscient de ce problème, le gouvernement émet des solutions. Mais, à aucun moment, il n'est question du service public. En parcourant le journal cette impression s'amplifie : « Le gouvernement entend maintenir un plus grand nombre de seniors en action. Or, il ne suffit pas que le pouvoir politique décrète pour que les entreprises obtempèrent. » Grand donneur de leçons pour les autres, comment l'Etat traite-t-il ses salariés ?

Mardi 4 novembre : un article sur Internet attire l'attention : 
« Le gouvernement a lancé mardi une opération destinée à diffuser à compter de 2009 « une batterie de bonnes pratiques » des entreprises pour l'emploi des seniors. Le ministre du Travail Xavier Bertrand a rappelé qu'il fallait discuter de l'emploi des seniors dans toutes les entreprises en 2009, notamment des conditions de travail, de la formation, de la rémunération, et, les entreprises qui refuseront de le faire seront sujettes à pénalité à partir de 2010. »
Que va faire Xavier Darcos maintenant qu’il est Ministre du travail ? Désormais, le maçon est au pied du mur !

Y aura t-il pénalité pour le service public et l'Education Nationale en particulier ?





Arnaque à la carte bancaire




















Fraude à la carte bancaire
Plainte non obligatoire


Les porteurs de carte doivent-ils porter plainte en cas d’utilisation frauduleuse de celle-ci ? Rappelons que le consommateur est protégé par la loi dans tous les cas, qu’il porte plainte ou non.



Carte volée et utilisée pour des retraits ou paiements, capture et utilisation frauduleuse de vos numéros de carte pour des achats sur Internet : comment obtenir le remboursement des dépenses ou versements abusifs ? Est-il notamment nécessaire de porter plainte ? La polémique enfle depuis qu’une « note » a été adressée, début août, par le ministre de la Justice aux services de police et de gendarmerie. Ces derniers sont incités à décourager les porteurs de carte bancaire à porter plainte. Policiers et gendarmes doivent notamment remettre une notice aux particuliers les informant que la « loi de 2001 n’impose pas qu’une plainte soit déposée […] pour bénéficier du remboursement ». Une initiative regrettable pour le Groupement des cartes bancaires qui a estimé que « cette mesure entraîne une perte d’information pour les enquêtes de police et une complication » pour les porteurs de carte. Malgré ces avis divergents, la loi est très claire et le consommateur ne doit pas s’y tromper. 



Et la plainte ?


Déposer une plainte est un acte citoyen. Selon Jean-Marc Bornet, administrateur du Groupement des cartes bancaires, « il faut que le porteur de la carte s’implique. Cette implication représente l’un des maillons de la lutte contre la fraude. Il sera toujours plus efficace dans le cadre d’une enquête que la police reçoive directement les informations du porteur qu’indirectement via sa banque. Et lutter efficacement contre la fraude est profitable pour tout le monde ». Possible, mais il n’en est pas moins certain que la plainte n’est pas obligatoire pour le remboursement du client par sa banque. Or l’UFC-Que Choisir déplore que certains établissements bancaires subordonnent cette opération au dépôt de plainte. Et rallongent encore inutilement le délai pour recréditer le compte du client. (article UFC Que choisir )


Doit-on toujours laisser faire sans rien dire ?
Conseil judicieux d'une gendarme : Ne laissez pas les 3 chiffres de sécurité à l'arrière de votre carte bancaire. Comme vous le savez ils vous sont demandés lors d'achat sur Internet.
Il suffit que lors d'un achat, la carte soit retournée discrètement pour que les numéros soient connus par quelqu'un d'autre que vous.
Muni de votre numéro de carte, date expiration et ce fameux numéro, n'importe qui peut faire ses achats Internet à vos frais !!!!
Ne devenons pas parano mais, soyons prudents !





vendredi 20 septembre 2013

Association Croq' La Vie Millau (12)


Association Croq' La Vie" Millau ( Aveyron)
En parallèle au travail réalisé dans les centres hospitaliers, le Dr Michelutti, chirurgien millavoise, a créé en 2003 l'association « Croq'la vie ». « C'est une structure d'écoute et d'échange autour de la maladie mais également un tremplin qui propose plusieurs activités aux personnes atteintes de cancer » précise la présidente.
Croq'la vie tient une permanence et à Saint-Affrique. L'association qui se veut accessible à tous les malades, organise chaque semaine des groupes de parole, de relaxation mais aussi un atelier d'activité physique douce. Elle encourage également la reprise d'activité physique grâce à un partenariat avec le SOM athlétisme sur son volet marche nordique.
Une béquille pour les malades mais aussi pour leurs familles qui se retrouvent souvent en grande difficulté, émotionnelle mais aussi financière parfois. La question qui se pose est la suivante : « Que peut faire l'entourage pour aider la personne atteinte d'un cancer ? ».
« Il n'y a pas de généralité mais l'écoute reste primordiale. Il ne faut pas surprotéger la ou le malade mais ne pas tomber non plus dans la négation de la maladie surtout après une guérison. Le choc psychologique est énorme et peut créer chez les malades des périodes de déprime ou de fatigue ».
Pour tous renseignements contacter Croq ' la vie : 06 03 09 12 11" (Article de La Dépêche)
Sébastien Aldebert, sophrologue à Millau - Montpellier rejoindra cette année cette association et apportera son aide. 
Bravo à Croq' La Vie !


jeudi 19 septembre 2013

Association "Vivre au naturel" Millau (12) Conférence du 27 septembre


 L'association Vivre au naturel avait organisé le 20 septembre 2012 une conférence-débat sur «La Sophrologie : outil de bien-être et de thérapie»,à 20 h 30, à la salle de 2ISA, 32, avenue de la République à Millau. Cette conférence était animée par Sébastien Aldebert, Magnétiseur - sophrologue à Millau, Castelnau Le Lez - Montpellier diplômé de l'EDHES à Paris. Sébastien propose aussi en partenariat avec l'association Vivre au naturel des séances collectives de méditation.
Téléphone Sébastien : 06 09 31 14 20
Le vendredi 27 septembre une nouvelle conférence conduite par Sébastien Aldebert traitera "Des cinq éléments" . Elle aura lieu  à 20 h 30, à la salle de 2ISA, 32, avenue de la République à Millau.
Renseignements : Gabrielle au 05 65 59 49 68 ou Nadine au 05 65 58 88 97.


À l’instar de l’univers constitué des cinq grands éléments, le vent, le feu et l’eau, l’éther et la terre, le corps résulte du mélange de ces cinq éléments. 
De l'équilibre de ces cinq éléments dépend votre bonne santé !

"La santé est le trésor le plus précieux et le plus facile à perdre; c'est cependant le plus mal gardé." (Chauvot de Beauchêne)

mercredi 18 septembre 2013

Magnétiseur - Sophrologue Montpellier - Castelnau Le Lez - Millau


"Pour mieux comprendre mon travail en tant que magnétiseur nous pouvons considérer le corps humain sur deux niveaux de subtilité :
D'abord le corps physique avec les os, les muscles, les organes, le sang, les vaisseaux sanguins... c'est à dire ce qui est visible. C'est le corps sur lequel travaille la médecine moderne.
Ensuite le système énergétique ou corps subtil. C'est le corps sur lequel je travaille. Tous nos problèmes apparaissent d'abord sur ce plan subtil. Quand de part notre façon de vivre, l'alimentation, le stress, les chocs émotionnels, etc... des déséquilibres naissent, ils apparaissent d'abord sur ce plan subtil créant différents blocages dans le système énergétique. Si rien n'est fait pour libérer ces « nœuds » énergétiques, ils vont se densifier entraînant alors des problèmes aux niveaux physique, émotionnel et/ou psychologique. Ce qui veut dire que bien avant qu'une pathologie ne soit perceptible, elle est déjà présente dans le corps énergétique et cela depuis parfois plusieurs années. En libérant et nettoyant le système énergétique, le physique, l'émotionnel et le psychisme peuvent alors naturellement retrouver un état d'équilibre et de santé.

La sophrologie est une méthode de bien être et d'harmonie, composée d'un ensemble de techniques visant à équilibrer le corps, le souffle et le mental.

Suivant votre problématique nous mettrons en place un nombre de séances et je vous proposerai des exercices adaptés pour retrouver un état d'équilibre et d'harmonie intérieure. Le but sera de vivre ces exercices ensemble pour que vous puissiez ensuite vous les approprier.
La sophrologie est un apprentissage : l'apprentissage de la conscience du corps, du fonctionnement des émotions et du mental.
Les techniques utilisées sont multiples : mouvements en conscience, travail de la respiration, relaxation, visualisation...

En harmonisant le corps, le souffle et le mental, une tranquillité intérieure prend place ; une autre façon de vivre est alors possible, non axée sur la peur et l'avoir mais sur l'ouverture et l'être. " 
Le lien de Sébastien ALDEBERT à découvrir : http://www.sebastien-aldebert.fr/


vendredi 13 septembre 2013

Plus de pitié pour les personnes âgées ! Lettre ouverte au Président de la République !


                                                                      
                                                                                    Monsieur le Président de la
                                                                                                      République
Objet : problèmes liés à
la dépendance suite à un
problème de santé.
                                                 
                                                                     
                                               Monsieur le Président ,
                
                        Vous avez désiré donner aux personnes âgées plus de possibilité de demeurer dans leur maison et je trouve cela très bien.
Mais, avez-vous pensé à ceux qui, malades, trop âgés pour la maison de rééducation, n’ayant plus la possibilité de demeurer à l’hôpital pour soins, ne pouvant revenir dans leur foyer se retrouvent désarmés et ne savent plus où aller parce qu’on ne veut plus d’eux ?

Le cas dont je vais vous parler est celui de bien des personnes mais, tous n’ont pas la chance de pouvoir exprimer leur colère et n’ont parfois personne pour le faire à leur place !
Février 2013 : mon beau père fait un AVC et le lent calvaire du couple va commencer !
La partie gauche du corps est désormais paralysée et, il ne peut plus s’alimenter normalement. Une sonde gastrique évite le dépérissement.
Mon beau père a 84 ans. Ils demeurent à Mauvezin dans le Gers.
Après l’hôpital d’Auch où il reste quelque temps, il est envoyé à l’hôpital de Mauvezin. Une place au centre de rééducation de ST Blancart en avril va nous permettre d’espérer une amélioration jusqu’à cet appel du centre qui, fin août, annonce à ma mère que dès la semaine suivante, il est renvoyé à Mauvezin.
Une semaine de délai et un message laissé sur un répondeur ! C’est donner peu d’importance à la personne âgée qui risque d’avoir devant une telle nouvelle une réaction que rien ne peut présager ! Façon d’agir que je juge assez « cavalière » !
Retour donc à Mauvezin dont l’hôpital est contigu à la maison de retraite. Quelle n’est pas l’étonnement de ma mère en se voyant refuser une place dans cette maison parce qu’il demande trop de soins et que le personnel n’est pas formé ?
Les cas tels mon beau père sont multiples.
Combien de personnes dans cette situation ai-je rencontré à St Blancart ? Combien de femmes désarmées ne pouvant envisager une maison de retraite pour leur conjoint parce qu’elles n’ont pas les moyens et qui vont ainsi pour les années qui leur restent vivre enfermées au chevet d’un époux malade ?
Quand je vois ma mère, personne fluette, comment peut-on envisager une minute qu’elle puisse soigner son mari ? Ce sont deux personnes qu’on condamne dans ce cas de figure ! Et, comment pourrait-­elle le soigner alors que le personnel de la maison de retraite s’en juge incapable ? Un personnel qui, jadis, assurait de tels soins et qui, aujourd’hui, alors que les techniques ont évolué, n’en est plus capable !
Jetez un regard attentif à de tels cas, qui, vu le vieillissement de la population vont se multiplier !
J’ai du mal à admettre que le personnel d’une maison de retraite ne soit pas formé pour les soins comme la toilette d’un malade même dans un cas grave et pour les alimenter même s’il y a sonde gastrique !

J’ai du mal à admettre que les maisons de retraite soient si onéreuses que leur accès ne soit pas possible pour bien des couples !
                     La génération de ma mère et de mon beau père est celle qui a connu la guerre et les privations, une génération qui ne travaillait pas 35 heures et n’avait pas ses 5 semaines de congé !
C’est aussi la génération qui n’a pas pointé au chômage et qui a toujours travaillé et parfois très durement !
 Mon beau-père ira donc dans une maison de retraite médicalisée et ce ne sera pas à Mauvezin puisqu’on ne veut pas de lui parce que le soigner est trop lourd pour le personnel médical qui ne se sent pas capable de l’alimenter ! C’est incroyable !
La maison de retraite adaptée n’est pas trop loin mais,  ma mère ne pourra aller le voir aussi souvent qu’elle voudrait puisqu’elle sera tributaire de mes venues (j’habite Albi) et des personnes qui pourront l’amener voir son mari.
Tous deux ont passé leur vie à Mauvezin. Lui, féru de cyclisme n’a pas ménagé son temps pour aider lors des rencontres sportives dans le village.
Mauvezin, c’était sa vie et, aujourd’hui, Mauvezin ne veut plus de l’homme que, la maladie a ainsi diminué !
Que doit-il penser ? Lui, qui n’a plus ses jambes mais, dont le cerveau fonctionne toujours ?
Comment va-t-il vivre cet isolement loin de sa ville et des amis de son âge qui venaient lui rendre visite à l’hôpital ?
Désormais les hôpitaux ne gardent plus très longtemps les malades et il faut trouver des solutions afin qu’ils soient soignés et bien traités.
C’est tout de même incroyable que lorsqu’une personne est malade elle n’ait plus le droit de demeurer dans un hôpital pour bénéficier de soins.
C’est grave de voir une société négliger ainsi les personnes âgées !
Aujourd'hui, dans cette maison de retraite de Gimont,  il a fallu lui administrer anti dépresseur et anxiolytiques. 
Que doit-il penser de ce village qui l'a vu naître et qu'il n'a jamais quitté ?
Comment doit-il vivre ce refus de la maison de retraite de son village ? 
Ce qui faisait autrefois la force de ces villages était son humanité mais, désormais, cela n’est plus !
Pourtant Mauvezin est majoritairement peuplé de personnes âgées. Qu’adviendra-t-il d’elles demain ? Va-t-on se « débarrasser » de ces personnes dérangeantes parce que désormais elles ne servent plus à rien ? 


J’ai voulu par ce courrier vous amener à considérer tous ces cas qui, vu l’allongement de la durée de vie, iront croissant !
Pensez à tous ces couples âgés qui, hier, jouissaient de la vie et que la maladie a aujourd’hui mis en difficulté.
Près de 2400 euros pour une maison de retraite ! Combien de couples âgés ont une telle somme ? Combien vont se trouver obligés de vendre cette petite maison dont ils étaient si fiers et pour laquelle ils se sont saignés aux quatre veines ?
Ne serait-il pas normal que le personnel d’une maison de retraite « normale » soit formée pour accueillir des cas tels mon beau père, des cas qui ont toute leur tête mais qui ont perdu une partie de leur mobilité ?
Ne serait-il pas logique de garder ses personnes dans la maison de retraite de leur village, le plus près de leur conjoint ? Cela ne serait-il pas plus Humain ? 
Mais, le terme « humain » semble avoir perdu tout son sens de nos jours !

De tels cas vont se multiplier dans les années à venir. Ne serait-il pas temps d’y songer ?


Je vous remercie de l’attention que vous porterez à ce courrier,

                        Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Président, l’expression de mon profond respect.

                                                          


Pas de pitié pour nos "vieux" !

Merci à Gérard Marcet conseiller régional du Gers et au Dr Fourcade, nouvellement arrivé à Mauvezin (Gers).
Merci de m'avoir écouté et de vous battre pour la défense du service de santé de Mauvezin.


Native de Mauvezin dans le Gers, je suis de tout coeur avec  cette lutte pour la défense de l’hôpital public.
Néanmoins un cas personnel amène une interrogation quant au terme "développement" que je retrouve bien souvent dans les articles évoquant cette défense de nos hôpitaux. 
Mon beau père : 84ans. Toute sa vie a tourné autour de Mauvezin et principalement le club de vélo pour lequel il se démenait corps et âme !
Février 2013 : AVC ! Côté gauche paralysé et ce seront ensuite : hôpital d'Auch puis Mauvezin et centre de St Blancart avant un retour à l'hôpital Mauvezin pour 10 jours avant d'être "balancé" à Gimont car la maison de retraite ne veut pas de lui puisqu'il a une sonde gastrique et cela demande plus de travail et compétences !  
Un hôpital ne peut se développer s'il ne s'ouvre pas à des cas qui vont se multiplier dans les années à venir !
La maison de retraite est contiguë à l'hôpital aussi l'accueil de ces personnes avec sonde ne devrait pas poser de problèmes. Si Mauvezin ne veut pas perdre cette structure de santé, il faut aussi s'adapter à des cas parfois difficiles.
On reproche à la France de ne pas anticiper (pbs retraite aujourd'hui alors qu'on le savait depuis fort longtemps !) et c'est fort vrai !
Le domaine de la santé devrait lui aussi ANTICIPER avant de voir déferler à la porte des maisons de retraite des cas comme mon beau père qui sont un peu plus lourds que les autres !
Une bonne politique locale devrait être consciente de cette évolution nécessaire s'ils ne veulent pas voir mourir leur hôpital et maison de retraite !
Il faut dire que l'hôpital et EHPAD de Mauvezin n'ont pas de directeur depuis deux ans !
Il est vrai aussi que les appareils pour sonde gastrique sont continuellement en panne dans l’hôpital !
Défendre : OUI mais, s'adapter est primordial !
Imaginez un homme frappé par un AVC, refusé par ce village qu'il a tant aimé et qui, aujourd'hui, suite à ces continuels déménagements perd tout repère car, conscient de ce qui se passe, il fait une dépression dans le service soins de longue durée à Gimont !
Certains villages avoisinants voient leur système de santé progresser parce qu'ils ont su anticiper alors que d'autres verront leur hôpital disparaître !
Peut être la politique locale devrait-elle se tourner vers ce problème ?
Développer l'accueil des touristes, leur faire découvrir la ville est une bonne chose mais, cela ne durera qu'un été alors que la population est en majorité constitué de personnes âgées. Ne serait-il pas temps de s'intéresser à eux ?
Le reste, ce n'est que de l'apparence,  de la poudre aux yeux !!!!
Notre système de santé dans les petits villages va se mourir, pour avoir perdu ce qui faisait autrefois sa spécificité : SON HUMANITE !


mercredi 11 septembre 2013

Médecines parallèles



"Pour mieux comprendre mon travail en tant que magnétiseur nous pouvons considérer le corps humain sur deux niveaux de subtilité :
D'abord le corps physique avec les os, les muscles, les organes, le sang, les vaisseaux sanguins... c'est à dire ce qui est visible. C'est le corps sur lequel travaille la médecine moderne.
Ensuite le système énergétique ou corps subtil. C'est le corps sur lequel je travaille. Tous nos problèmes apparaissent d'abord sur ce plan subtil. Quand de part notre façon de vivre, l'alimentation, le stress, les chocs émotionnels, etc... des déséquilibres naissent, ils apparaissent d'abord sur ce plan subtil créant différents blocages dans le système énergétique. Si rien n'est fait pour libérer ces « nœuds » énergétiques, ils vont se densifier entraînant alors des problèmes aux niveaux physique, émotionnel et/ou psychologique. Ce qui veut dire que bien avant qu'une pathologie ne soit perceptible, elle est déjà présente dans le corps énergétique et cela depuis parfois plusieurs années. En libérant et nettoyant le système énergétique, le physique, l'émotionnel et le psychisme peuvent alors naturellement retrouver un état d'équilibre et de santé.

La sophrologie est une méthode de bien être et d'harmonie, composée d'un ensemble de techniques visant à équilibrer le corps, le souffle et le mental.

Suivant votre problématique nous mettrons en place un nombre de séances et je vous proposerai des exercices adaptés pour retrouver un état d'équilibre et d'harmonie intérieure. Le but sera de vivre ces exercices ensemble pour que vous puissiez ensuite vous les approprier.
La sophrologie est un apprentissage : l'apprentissage de la conscience du corps, du fonctionnement des émotions et du mental.
Les techniques utilisées sont multiples : mouvements en conscience, travail de la respiration, relaxation, visualisation...
En harmonisant le corps, le souffle et le mental, une tranquillité intérieure prend place ; une autre façon de vivre est alors possible, non axée sur la peur et l'avoir mais sur l'ouverture et l'être. " 
http://www.sebastien-aldebert.fr/




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"Dans la médecine conventionnelle il y a des manques, donc pourquoi ne pas les combler avec des médecines parallèles"

mercredi 5 juin 2013

Auto entrepreneurs : La révolte des poussins !



Créé en 2009 le régime de l'auto-entreprise donne la possibilité aux salariés, chômeurs, retraités ou étudiants d’exercer une activité à titre principal ou complémentaire afin de permettre de créer leur emploi ou d’augmenter leur revenu.
Ce statut permet une simplification de démarches administratives et une fiscalité adéquate dont le principal atout est « une exonération de charges en l’absence de chiffres d’affaires.
Ce gouvernement met ce régime à l’index !
En septembre 2012 :
 -  alignement du régime de cotisation sociale des auto-entrepreneurs sur celui des autres entrepreneurs individuels ». Cela  va les obliger à payer des charges avec ou sans chiffre d’affaires.
-  Aujourd’hui  il est question de «Limiter dans le temps dans certains cas le régime de l'auto-entreprise lorsqu'il est utilisé pour exercer une activité principale » et « maintenir sans limitation de durée ce régime dans le cas d'activités secondaires »
Cela paraît aberrant !
 Le double emploi est autorisé mais, l’emploi principal va être pénalisé !
Où va ce gouvernement ? Que cherche-t-il ?
Le taux de chômeurs ne cesse d’augmenter et ils vont, par cette loi, mettre 900 000 personnes en difficulté ! Une grande partie, à l’issue de cette loi, ira gonfler le chiffre des chômeurs !

Pour satisfaire les uns, et pas les plus malheureux !  Sylvia Pinel, l’instigatrice de cette loi, va mettre ceux qui essaient de s’en sortir dans une situation difficile et certains n’auront plus que « le black » pour sortir la tête de l’eau !
En limitant la durée de 1 à 5 ans, elle semble oublier que ce régime de l’auto-entrepreneur répond justement aux besoins de toutes les personnes qui n’ont pas encore  les moyens d'assumer la création d’une entreprise dite classique mais qui s'efforcent d'être actives, de produire et dégager du chiffre d’affaires et des recettes fiscales.
1 à 5 ans sont-ils suffisants pour qu'une entreprise fasse ses preuves et rentre dans ses frais ?
Les auto-entrepreneurs ont une obligation de CA annuel sous peine de voir leur statut annulé. Est-il nécessaire d'alourdir la peine?
Est-il raisonnable et humain de  couper l’élan de personnes qui ont envie de s’en sortir et d’être actives ?
Cela risque de créer de gros problèmes :  chômage, travail au noir …, et ne résoudra rien
L’auto-entreprise telle qu’elle a été créée n’est pas sans résultats  : faillites évitées, recettes fiscales, sortie bénéfique de période d’inactivité même sans grand succès financier,  motivation et émulation etc.
Sylvia Pinel, en se faisant la porte parole du gouvernement va jeter dans la précarité plus de 900 000 personnes et cela ne servira qu’à gonfler le taux de chômeurs !

Ces mesures susceptibles de priver le statut de l'auto-entrepreneur de ses principales qualités et de sanctionner lourdement ceux qui n'ont pas réussi à atteindre un objectif satisfaisant pour muter en régime classique ont amené un mouvement de contestation grandissant à s'opposer à ce futur projet de loi : les Poussins se mobilisent !
Le problème de ce gouvernement comme bien d’autres est que depuis leur nuage, ils ne voient pas les difficultés des autres !
Sylvia Pinel, comme la plupart des ministres, ne semble pas avoir souffert dans sa jeunesse de la précarité. Fille d’un éleveur bovins, elle n’a pas connu les problèmes que vont rencontrer toutes ces personnes qu’elle tente de jeter dans la précarité ! Il est vrai que son parcours professionnel se réduit à des mandats parlementaires. Est-il normal de confier à une personne qui n'a jamais été confrontée au monde du travail, un tel dossier ? 
( En 2010 elle est élue au second tour conseillère régionale de Midi-Pyrénées et en mars 2011, candidate aux élections cantonales à Castelsarrazin elle n’obtiendra que 33% des voix et ne sera pas élue !.)


Faut-il pour être ministre en avoir bavé dans sa jeunesse pour comprendre les autres ?

Sylvia Pinel a-t-elle calculé combien coûtera à la société ces personnes qu'elle s'efforce d'envoyer au chômage ? 

A-t-elle une petite idée de ce que moralement cela peut représenter pour toutes ces personnes et leurs familles ?
A-t-elle déjà travaillé dans sa vie pour comprendre ce que signifie perdre son emploi ? 

Ne se serait-elle pas aperçue que nous sommes en période de crise, que le chômage ne cesse d'augmenter, que les personnes qui pointent à pôle emploi ont des difficultés à vivre et se contentent de survivre ? 

Etre tourné vers les autres n'est pas donné à tout le monde....Hélas ! 
Les gouvernements se suivent et se ressemblent et le socialisme n'a plus de social que le nom ! 
Et pourtant, nous sommes nombreux à y avoir cru mais....ce n'était qu'un rêve !

"Les gens déjà chargés de leur propre misère sont ceux qui entrent davantage par la compassion dans celle d'autrui" (Jean de la Bruyère )

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Disons NON, à l’injustice ! Aidons les auto entrepreneurs !
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