30 minutes, à pied, vous suffiront pour rejoindre la célèbre place Jemma el Fna et ses incontournables souks.
Charmeurs de serpents, diseuses de bonne aventure, petits marchands vous hèleront et pour quelques dirhams (pas plus de 20 = 2 euros) vous pourrez savoir ce qui va vous arriver demain !!!
Mais, si la marche à pied n’est pas votre « dada » arrêtez un des nombreux taxis jaunes qui sillonnent la ville….Mais, attention, leur prix est très élastique et les compteurs rarement utilisés. Restez méfiants !
Et, si vous préférez emprunter les transports locaux et vous mêler ainsi aux autochtones, la ligne de bus n°1, vous conduira pour 3 dirhams 50 à proximité de la place.
La majestueuse Koutoubia, célèbre mosquée de Marrakech édifiée au XIIème siècle proche de la place vous accueillera et, vous pourrez également découvrir et visiter à proximité de l’édifice religieux les immenses et magnifiques salons de l’hôtel de luxe : la Mamounia . Peut être ne résisterez vous pas à l'envie de boire un verre ou manger au restaurant situé au bord de la piscine ? Mais, attention....les prix ne sont pas élastiques, pas question de marchander !
Le jardin Majorelle, rendu célèbre par Yves St Laurent n’est qu’à une quinzaine de minutes de l’hôtel.
En 1919, le peintre français, Jacques Majorelle, tombe amoureux de Marrakech et s’installe dans la Médina. Il achète une palmeraie, fait construire sa villa et crée son jardin botanique.
A la suite d’un accident de voiture, il est rapatrié à Paris, où il décède en 1962. Le jardin est alors laissé à l’abandon.
En 1980, Yves St Laurent et Pierre Bergé rachètent la villa et le jardin qu’ils font restaurer.
Après avoir parcouru les rues de cette envoutante ville, la piscine de l’hôtel vous accueillera et vous apportera une détente bien méritée !
Un accueil sympathique, un emplacement idéal, un prix très abordable, l’hôtel Zahia, de style très marocain est, malgré un côté un peu vétuste, idéal pour découvrir la ville.
« Les gens de Marrakech drainent dans leur regard l'insaisissable éblouissement du nulle part. Des yeux fixés sur rien. Des yeux fièrement tournés vers le passé. Les regards de Marrakech ont peur. Mais leur histoire ancestrale leur confère une foi indestructible en l'avenir. 'Il n'est rien arrivé de grave à nos ancêtres. Il ne nous arrivera rien de grave. Les sept saints de la ville sont là et veillent'. C'est cela que diffusent les regards, sombres et merveilleusement brillants, des gens de Marrakech . » (extrait du livre : Marrakech, lumière d’exil)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire