Article de La Dépêche du 14/10 :
« Un individu très énervé et
violent s'en est pris à un homme de 74 ans, peu après minuit, dans la nuit de
lundi à mardi, au niveau de la station de métro des Arènes. Il l'a roué de
coups avant que des agents Tisséo n'interviennent. À l'arrivée des policiers,
la victime, choquée, a été secourue par les sapeurs-pompiers sans pour autant
être transportée à l'hôpital.
À ce moment-là, trois amis de
l'agresseur sont intervenus pour le libérer. Les policiers ont dû faire usage
de bombe lacrymogène afin de les faire fuir.
Chargé dans le véhicule de
police, le fou furieux a continué à s'exciter. Il a mis plusieurs coups de tête
dans l'habitacle de la voiture tout en proférant des injures et des menaces. Il
a notamment invoqué le tueur au scooter : «Mohammed Merah était un petit
comparé à ce que je vais vous faire…»
Il a ensuite tenté de donner un
coup de tête à un policier qui a dû le repousser et s'est blessé légèrement à
la main dans la manœuvre. L'homme de 44 ans a été placé en garde à vue.
Hier, le syndicat Unité SGP FO a
dénoncé ces violences et demandé «la plus grande fermeté à l'encontre des
individus interpellés». »
Mais, où est le Toulouse que j’ai
connu ?
Que se passe-t-il dans la « ville
rose » ?
La même violence partout !!!!
Est-ce le fait de trop de laxisme ?
Cette semaine, les policiers
manifestaient ! Ils sont venus
crier leur colère ce mercredi devant le Ministère de la Justice suite au
problème survenu le 5 octobre. Un
policier de la BAC (brigade anti-criminalité) a été grièvement blessé par un
braqueur. Celui-ci avait profité d'une
permission de sortie pour s'évader de prison.
Le conflit entre la police et la
justice s’amplifie !
La police trouve les juges laxistes.
Elle leur reproche de ne pas assez punir les coupables. La " réalité du terrain "
n’est pas prise en compte et, alors qu’il leur faut des mois, voire
même des années pour trouver les coupables, ces derniers n’écopent que de
peines légères et, de plus, bénéficient de remises de peine et permissions qui
ne semblent pas logiques.
Ma tante qui avait toujours vécu
à Toulouse me disait cela fait quelques années qu’elle n’osait plus rentrer après
20h.
Qu’est devenue la « ville
rose » ?
Toulouse, la ville chérie de mes
jeunes années, qu’en a-t-on fait ?
Extrait de « Au risque de me perdre » :
Le BAC en poche, je poursuis mes études à Toulouse. La « ville rose »
nous tend les bras.
Toulouse, chère à C.Nougaro avec sa basilique romane St Sernin, les bords de la Garonne et ses ponts célèbres : St Michel, St Pierre, le pont neuf, le pont des Catalans et bien d’autres encore incitaient à la balade. Les terrasses des cafés de la place du Capitole, nous accueillaient au soleil. Installés dans les fauteuils, nous pouvions admirer la magnifique façade de l’hôtel de ville avec sa « salle des illustres » qui a assisté à l’union de tant de couples, (dont le mien !), et son théâtre, temple de l’art lyrique et de l’opéra. Le donjon contigu au monument héberge l’office du tourisme. La place Wilson entourée de cafés, boutiques et cinémas est un des endroits les plus animé de la ville et, cette rue St Rome dans laquelle nous aimions tant flâner et faire du « lèche vitrine.
La rue du Taur avec ses boutiquiers et ses petits cafés est chère à mon
cœur. C’est dans un petit bar : « l’Esquile » où nous nous retrouvions avec des
copains et refaisions le monde jusqu’à tard dans la nuit..
« Qu'il est loin mon pays qu'il est loin
Parfois au fond de moi se raniment
L'eau verte du canal du Midi
Et la brique rouge des Minimes
O mon païs ô Toulouse ô Toulouse…….. »
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