Lundi matin dans un lycée de Muret, dans la région toulousaine : "les élèves et professeurs ont eu la désagréable surprise de lire des inscriptions injurieuses. Tracées à la bombe de peinture dans la nuit de dimanche à lundi, sur la façade et sur la vitre de la porte d'entrée, elles étaient ciblées et clairement menaçantes : « Nique la prof de Français, Clio rouge » et « A mort le CPE » (Conseiller principal d'éducation)."
Aujourd’hui, nouvelle agression d'un élève au sein même de son lycée dans le Val-de-Marne.
Un élève de 14 ans a violemment été agressé par sept individus dont la tête était recouverte d’une capuche..
« Projetée au sol et rouée de coups, la victime aurait également reçu un coup de couteau dans la cuisse, souffrirait d'une plaie à l'oreille et aurait les yeux tuméfiés par les gaz lacrymogènes, » a indiqué une source judiciaire.
"C'est un problème de société, de la violence gratuite, qui n'est pas du tout propre à cet établissement, mais, au contraire, généralisée. Ca peut arriver n'importe où", a déclaré un professeur.
Triste constat, certes, mais, problème de société ou pas, on ne peut laisser faire ! Est-ce en supprimant profs et surveillants qu’on règlera le problème ?
Chaque ministre de l’Education Nationale y va de sa réforme mais, aucun ne s’attaque à la racine du problème ! Seul Luc Ferry avait compris que c’est par le CP, classe charnière qu’il fallait commencer. Hélas ! sa réforme qui visait le dédoublement du CP n’a pas fait « long feu » ! On l’a vite envoyé au placard !
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