vendredi 16 janvier 2015

la liberté pour Raïf BADAWI !


















Dimanche 11 janvier 2015, dans toutes les villes de France, nous avons été nombreux à nous rassembler pour dénoncer la BARBARIE ! 
Suite aux massacres dans les locaux de Charlie Hebdo par les frères Kouachi et aux assassinats de 4 jeunes juifs dans un supermarché casher par Amedy Coulibaly, une foule nombreuse a marché dans les rues de toutes les villes pour dénoncer et dire NON ! 

Le slogan "Je suis Charlie",  a accompagné cette marche. 

Mais, n'oublions pas Raïf Badawi, emprisonné injustement, et condamné à 1000 coups de fouet et n'oublions pas tous les Raïf du Monde !!!!!! 

Raif Badawi a été accusé d’apostasie et d’insulte à l’Islam et est emprisonné depuis juin 2012. Il a été condamné à 1000 coups de fouet et 10 années de prison. Son avocat Waleed Abu al Khair est également emprisonné. Les séances de flagellation ont débuté le 9 janvier 2016,
suscitant les protestations de nombreux gouvernements, puis de l’ONU.
Quel est son crime ?
Il crée en 2008, avec  avec Souad al-Shamani, une militante saoudienne des droits de la femme, un site militant ouvert à la discussion des internautes.
En 2008, il est arrêté, interrogé puis relâché.  Accusé d’avoir créé un site qui insulte l’Islam, il est forcé de quitter le pays. Il y revient ensuite mais, en 2009, il lui est interdit de quitter désormais le pays et son compte en banque est bloqué.  En 2011, à la suite d’un article sur la Saint Valentin sur son site web est à nouveau accusé d’enfreindre les valeurs religieuses.
En 2012, le cheikh saoudien Abdul-Rahman al-Barrak publie une fatwa le traitant d'apostat pour avoir déclaré que « musulmans, chrétiens, juifs et athées sont tous égaux ».
Sa famille (sa femme et ses 3 enfants) fait l’objet de tracasseries et décide de quitter le pays. Ils sont au Québec depuis octobre 2013.
Badawi est à nouveau condamné le 7 mai 2014 à dix ans de prison, 1 000 coups de fouet  distribués en vingt séances hebdomadaires de flagellation, une amende d'un million de ryals (266 000 dollars) et une interdiction de voyage de dix ans à l'expiration de sa peine de prison.  Le site de Badawi est fermé, la justice saoudienne considérant que « les sujets et commentaires qui y ont été publiés dans le passé violaient les enseignements de la religion [musulmane] et avaient engendré des controverses ». Son avocat, Waleed Abu al-Khair, qui est également un militant pour les droits de l'homme en Arabie saoudite, a été condamné à quinze ans de prison !
La première de ces séances de 50 coups de fouet a lieu le vendredi 9 janvier 2015 en public devant une mosquée de Djeddad.
Les États-Unis,  le Canada, la Communauté
Beaucoup de participants aux manifestations des 10 et 11 janvier 2015 ont également affiché leur soutien à Badawi.
européenne et d'autres pays ont publiquement demandé à l'Arabie saoudite de faire cesser ces flagellations.
Le 15 janvier 2015, l'ONU en a appelé au roi d'Arabie Saoudite, lui demandant « d'exercer son pouvoir de mettre fin à la flagellation publique en pardonnant M. Badawi ».
Le lendemain, la deuxième séance de flagellation est reportée pour raison médicale. 

Dites NON à l'injustice en signant la pétition. 







jeudi 15 janvier 2015

HISTOIRE DE LA CARICATURE ET DE LA PRESSE SATIRIQUE EN F RANCE DES ORIGINES A 1945

HISTOIRE DE LA CARICATURE ET DE LA PRESSE SATIRIQUE EN F RANCE DES ORIGINES A 1945

15 janvier 2015, 10:25

HISTOIRE DE LA CARICATURE ET DE LA PRESSE SATIRIQUE EN F RANCE
DES ORIGINES A 1945
Le terme de « caricature » apparaît au XVIIe siècle, et l’Encyclopédie définit la « charge » comme « la
représentation [...] d’une personne ou [...] d’un sujet, dans laquelle la vérité et la ressemblance exacte ne sont altérées que par l’excès du ridicule ». La dérision repose fréquemment sur la transformation des corps ou l’animalisation, parfois renforcée par le texte, sous forme de légendes ou de bulles.
Si l’illustration apparaît timidement dans la presse du XVIIIe siècle, la Révolution et l’Empire suscitent de nombreuses caricatures politiques, notamment sous l’influence des dessinateurs anglais.
Le XIXe siècle est l’âge d’or de la caricature, qui constitue un élément important de la diffusion de la pensée politique et du débat démocratique. L’illustration profite de l’essor économique et des progrès techniques du monde de la presse pour gagner peu à peu les journaux, notamment sous l’influence de Charles Philipon, créateur dans les années 1830 de La Caricature puis du Charivari
, où s’illustre Honoré Daumier.
La presse satirique est étroitement surveillée par les régimes successifs, l’image – qui parle aux lettrés comme aux analphabètes – étant considérée comme plus dangereuse que l’écrit. Lorsque l’Empire se fait moins autoritaire dans les années 1860, le dessin satirique gagne à nouveau du terrain, notamment sous l’impulsion d’André Gill.
Avec la grande loi de libéralisation de la presse du 29 juillet 1881, la caricature connaît une expansion sans précédent, dans un contexte général d’explosion de la presse.

Jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, l’image satirique joue un rôle important dans les mobilisations
populaires : au gré des crises (Boulangisme, Affaire Dreyfus, séparation des Eglises et de l’Etat, etc.), les dessins de L’Assiette au beurre, Pssst... ! ou Le Canard enchaîné sont de puissants instruments de satire politique et sociale.
Illustrant deux siècles d’histoire, ces caricatures, portraits-charges et dessins d’humour fournissent un excellent reflet de la société et de l’opinion et constituent ainsi une source essentielle pour les historiens.  (Bibliothèque Nationale de France)




vendredi 9 janvier 2015

Qu'Allah bénisse la France !










Dans notre époque troublée où les attentats fomentés par des milieux intégristes musulmans se multiplient, il est bon de se tourner vers de telles lectures ! 
Un livre qui est un chant d'espoir !

Qu'Allah bénisse la France de Abd al Malik :


"L'auteur a connu tout ce qu'un fils d'immigrés, noir, pauvre, élevé par une mère seule avec six frères et soeurs, peut connaître de la délinquance des cités : vols et trafics en tous genres, argent facile, frime et rapports de force, sans oublier les proches tués par balles, morts d'overdose, ou qui ont sombré dans le fanatisme. Converti à l'islam - ou plutôt à cet islam obscurantiste qui sévit dans certaines banlieues -, il a parcouru les routes de France pour prêcher dans des mosquées de fortune. Abd al Malik avait tout pour entrer dans l'univers de « la haine ».
Pourtant, la bénédiction qu'il appelle aujourd'hui sur son pays d'accueil embrasse dans une même sincérité juifs, chrétiens ou laïcs, sans oublier toutes les femmes. Car Abd al Malik a trouvé sa voie dans le soufisme, islam lumineux centré sur l'amour universel, qui l'a réconcilié avec l'esprit de la citoyenneté. "

Adapté du livre autobiographique du chanteur de rap Abd Al Malik, le film "Qu'Allah bénisse la France" raconte le parcours de Régis, enfant d'immigrés, noir, surdoué, élevé par sa mère catholique avec ses deux frères, dans une cité de Strasbourg. Entre délinquance, rap et islam, il va découvrir l'amour et trouver sa voie.


"Pas facile de s’échapper d’une cité-ghetto où même l’herbe se met en pétards. Pour Régis (Marc Zinga), l’unique moyen de s’élever au-dessus des tours HLM, c’est de lire et de faire du rap. Mais pour la zik, faut du matos, et ça coûte cher. Alors, pour financer leur groupe, Régis et ses potes se mettent à dealer... Ce premier film réalisé par Régis Fayette-Mikano, devenu Abd Al Malik après sa conversion à l’islam, suit le cours biographique du fleuve d’« intranquillité » où ont baigné ses années d’adolescence et où flottent tant de cadavres. Tourné avec l’énergie d’un clip et le réalisme brutal d’un noir et blanc coléreux, cet hymne hip-hop, brillamment orchestré, ajoute à la partition entamée avec « La haine » de Kassovitz des notes d’espoir. Celles d’Abd Al Malik, repêché de la délinquance et sauvé par l’art et la culture. Qu’Allah le bénisse." (Paris-Match)



                 

Une minute de silence par respect aux victimes de la tuerie de Charlie Hebdo....





"Madame, me dit-elle, on ne va pas se laisser insulter par un dessin du prophète, c'est normal qu'on se venge. C'est plus qu'une moquerie, c'est une insulte ! »
Voici la réflexion d’une élève de 4ème dans un collège REP de Grenoble lors de la minute de silence demandée par respect aux victimes de la tuerie dans les locaux de Charlie Hebdo.

Le matin du 8 janvier, la ministre a envoyé un courrier rappelant le rôle de l’école dans la transmission des valeurs de la République.
Les  professeurs, avaient pour mission d'expliquer aux élèves les faits,  les faire réfléchir, de aider à comprendre.

D’après les propos de cette professeur, cet événement a créé une fracture dans une classe habituellement soudée. La classe a éclaté en deux clans et voir resurgir des communautaristes lui a fait peur !
« L'école doit transmettre nos valeurs, mais on est parfois un peu trahis par les parents. On apprend les principes républicains aux enfants, mais une fois à la maison ils en font bien ce qu'ils veulent. Ils n'ont plus confiance en nous, professeurs. Ils ne nous prennent pas pour des alliés, mais pour des ennemis. En tant que prof, tu te demandes ce qu'ils peuvent penser de toi, de nous enseignants, nous qui avons la foi de leur apprendre. Nous avons devant nous des jeunes citoyens qui ont des idées telles qu'on est obligé de se demander : "Où allons-nous ?" » (propos  de la professeur recueillis par la journaliste du Point)

Outre les 12 personnes tuées dans les locaux de Charlie Hebdo, une jeune policière martiniquaise a perdu la vie et au moment où j’écris des personnes sont retenues en otage et il est difficile d’imaginer l’issue de ces opérations meurtrières…
A travers les paroles de cette professeur, il est aisé d’imaginer les propos tenus à la maison et, c’est ça qui est grave !
 Personnellement, j’ai commencé à travailler dans l’Education Nationale après 1968 et j’ai vu, d’année en année, la situation se dégrader.

Voici un extrait de « Au risque de me perdre » :
J'ai connu beaucoup d'enfants, tellement différents les uns des autres, tellement attachants mais, j'ai vu progressivement le système scolaire se dégrader.
Les élèves ont changé, les divorces se sont multipliés, les enfants se trouvent partagés entre parents. Ils sont écartelés. Ils n'ont plus de repères et, c'est à coups de cadeaux que chaque parent essaie d'obtenir ses bonnes grâces. L'enfant devient roi à la maison et à l'école ! Plus le droit de le toucher même du petit doigt.
« L'enfant roi » de la circulaire Royal, celui qui ne ment jamais. Quel gâchis de penser cela ! Et, en disant cela, je ne peux que penser au cas de Bernard Hanse et de bien d'autres enseignants qui sont morts accusés injustement.
Quand j'écoute la vidéo qui retrace la lettre que Bernard a laissée à sa femme, je ne peux m'empêcher de réagir avec émotion et colère ! Même réhabilité en mars 2003 par Xavier Darcos alors ministre délégué aux affaires sociales, comment empêcher le doute de certains ? « L'affaire n'est pas finie, l'enfant s'est peut être rétracté sous la pression des adultes, sous le poids d'un suicide, les reproches qui lui avaient été faits d'avoir parlé. » Comment oublier ces mots de Mme Royal ? Jamais elle n'exprimera aucun doute ni regret quant au bien fondé de son initiative, prise au nom de la parole de l'enfant. Elle affirmait lors de la parution de sa circulaire que « les enfants ne mentent jamais ».
Une élève que je grondais et que j'ai prise par l'épaule afin qu'elle me regarde me décroche un :
« Vous n'avez pas le droit de me toucher… , je le dirai à mes parents »
Finalement, le soir, la nuit, vous angoissez. Que va t’elle raconter aux parents ? Plus question de gronder… ça les perturbe. Les prendre par l'épaule… c'est très mal interprété ! et, si de surcroît, cet enfant n'a pas la même couleur de peau… vous êtes raciste ! Une élève que je réprimandais me traite de : « raciste ! ». L'amusant est qu'une petite magrébine avec laquelle je n'ai aucun problème et qui assiste à la scène rigole et lui dit : « bizarre, avec moi, elle ne l'est pas »
Deux élèves se bagarrent dans le couloir. Je les gronde et les punis tous les deux. Le lendemain, la mère vient me trouver, et désapprouve la punition. Ce n'est pas son fils qui a commencé. Je ne suis pas là pour mener une enquête et, je ne change pas d'avis ! La maman part déçue et, moi, je le suis aussi devant l'attitude d'une collègue, une institutrice !
La semaine suivante, j'entends un grand bruit dans le vestiaire des garçons. Je me précipite et trouve le même élève sautant de banc en banc ! Je mets un mot dans le carnet :
« Votre fils saute de banc en banc au risque de se faire mal et de détériorer le matériel.  »
Je n'ai plus jamais entendu parler de cette maman ! Par la suite, j'ai eu un autre de ses fils et, nos rapports ont été bons.
Deux enfants en viennent aux mains pendant mon cours. Je les gronde et les envoie à la vie scolaire. Ils auront la même punition. Le père vient le lendemain, et, va contester la punition auprès des conseillers d'éducation. Il m'appelle à la maison et m'explique que ce n'est pas son fils le responsable. Je refuse de reconsidérer la punition donnée. Ils étaient deux à se battre, ils seront deux à être punis ! Je suis appelée chez le principal qui veut me faire changer d'avis mais, je reste imperturbable ! Pas question de mettre deux sanctions différentes. Les conseillères d'éducation sont de mon avis. 
Nous avons parfois des élèves un peu « fainéantes » et que l'effort dérange. Elle n'était pas du tout comme ça. Je lui demande alors d'en parler chez elle. La semaine suivante, même problème. A-t-elle prévenu sa famille ? « Oui » me dit-elle mais, ils ne l'ont pas vraiment prise au sérieux. Je lui propose de mettre un mot sur le carnet pour sensibiliser ses parents à ce problème. J'apprends la semaine suivante qu'ils ont demandé de quoi je me mêlais !

Quelque temps après, elle me confie que, finalement, elle a vu un spécialiste et, celui-ci s'est aperçu du développement insuffisant d'un lobe pulmonaire. Si je n'avais pas prêté attention à ses difficultés, personne ne l'aurait jamais su, jamais traité et, peut être un jour aurait-elle eu des ennuis."

Quand je vois la situation aujourd’hui, je ne suis même pas étonnée. Ecoeurée, oui, mais pas étonnée !
Peut-être faudrait-il qu’un Ministre de l’Education Nationale ait enfin conscience qu’il faut cesser ce laxisme et imposer des règles !
Mais, maintenant, on supprime même les notes pour ne pas les perturber, comme si la vie allait être « un long fleuve tranquille » . L'école devrait préparer à la vie et non donner l'illusion d'un demain idyllique !

Le respect n'est plus qu'un mot dont certains ignorent même le sens !

Tout ce à quoi j’assiste aujourd’hui me fait vraiment craindre pour demain !





mercredi 7 janvier 2015

Attentat dans les locaux de Charlie Hebdo !




Un attentat dans les locaux de Charlie Hebdo a coûté la vie à 12 personnes. Les dessinateurs Charb, Cabu, Tignous et Wolinski ont été tués dans l'attentat . Le terme "tués" est faible, je dirai plutôt "assassinés" !









Charb âgé de 47 ans, Cabu auquel on doit le personnage du grand Duduche avait 76 ans, Wolinski, 80 ans, était un des maitres du dessin satirique et Tignous 57 ans.
Dans le dernier numéro de l’hebdomadaire, Charb publiait un dessin prémonitoire qui faisait suite à la polémique créée par le roman de Houellebecq : « Soumission ». Roman qui met en scène une France islamisée.

Résumé de Soumission :
« Une anticipation dans laquelle un parti musulman remporte la présidentielle contre le Front national.
Le Front national de Marine Le Pen, qui a déjà perdu le scrutin de 2017, subit la loi d’une alliance UMP, UDI, PS, associée à la Fraternité musulmane, parti inventé par l’auteur. Son leader, Mohammed Ben Abbes, finit par être élu et choisit François Bayrou comme premier ministre. 
Le nouveau Président, Mohammed Ben Abbes, se veut un « modéré », mais sa préoccupation première est par elle-même inquiétante : il veut islamiser l'éducation. La Sorbonne se retrouve donc entre les mains des Monarchies du Golfe – qui ont leur part, évidemment financière, dans la victoire d'un parti islamique en France – et tous les professeurs se retrouvent dans l'obligation de se convertir à l'islam, ou de partir. »
« Soumission est une bombe médiatique à mèche lente qui va exploser de façon ravageuse. Sur le plan littéraire, Houellebecq ne cherche pas à séduire. C’est même le contraire. [...] Houellebecq est présent dans ce livre, c’est indéniable. Les digressions religieuses pointues, les références culturelles savoureuses, quelques intuitions géopolitiques » (Les échos du 6 janvier 2015)

Un livre qui fait polémique. Mais, il faut le lire pour juger car les avis sont très partagés….

Un tel acte de barbarie comme celui qui vient de se produire dans les locaux de Charlie Hebdo va-t-il raviver cette haine raciste ? Un mouvement qui grandit dans bien des pays (Etats Unis, Allemagne, France…..)
« Nous sommes menacés parce que nous sommes un pays de liberté » a déclaré, François Hollande, notre président de la république.
Charlie Hebdo était un grand symbole de la Liberté !


Je suis de tout cœur avec les familles de ceux qui ont perdu la vie dans cet attentat et souhaitons que les auteurs de cette barbarie soient arrêtés et jugés comme ils le méritent !

Le journaliste Serge Moati appelle les citoyens Français à participer à une marche républicaine. (cliquez sur le lien) 

mardi 6 janvier 2015

Un parfum de scandale !










En ouvrant ma messagerie Facebook, ce matin, un message a attiré mon attention. Celui-ci me renvoyait vers une vidéo assez troublante !

Un « parfum de scandale » à la mairie de Bobigny !!!!
 Sabrina Saïdi, adjointe à la petite enfance,  a porté plainte pour menaces de mort.
« L'affaire remonte au 8 juillet. Ce soir-là, Sabrina Saïda subit un véritable interrogatoire par les quatre hommes qui l'accusent d'avoir distribué un tract mettant en avant le passé judiciaire d'une chargée de mission nouvellement embauchée par la ville et son mariage avec un membre du « gang des barbares » condamné à dix-huit ans de prison. Ce que l'adjointe dément. Mais ses contradicteurs ne la croient pas. Prudente, la jeune femme avait enregistré les conversations discrètement. Après cet épisode, elle décide de porter plainte. »(Le Parisien du 29 juillet 2014)
Le maire UDI de Bobigny, Stéphane de Paoli, a, de son côté,  fait distribuer une lettre aux habitants dans laquelle il donne sa version des faits. Il dénonce publiquement les agissements supposés de son adjointe !
Quelle ambiance !
L'affaire est aujourd'hui entre les mains de la justice.....Le pot de terre contre le pot de fer ??????













Extrait de « Au risque de me perdre » : C'était en 2007 ......

Cela me ramène à mon engagement à l’UDF qui deviendra par la suite MODEM !

Pour la représentation au Conseil National, deux listes s'affrontent dans mon département.
Tous les moyens sont bons pour obtenir des voix, aucun respect pour l'autre ! Le site du parti sur Internet est un excellent exutoire et les pseudonymes fréquents permettent toutes les dérives ! De temps en temps un modérateur intervient mais, il est vite débordé !
J'assiste éberluée à des attaques personnelles. Rien n'est épargné ... Malheur à celui qui a choisi un employeur d'un autre bord !
Des consignes de vote sont même données par message internet !
Où est la démocratie dans cette façon d'agir ?
Tout cela m'amène à m'interroger. C'est quoi un « Mouvement Démocrate «  ?
Et, quand je lis de telles notions : citoyens actifs – éthique – démocratie – vérité – avenir – rassembler – génération politique nouvelle … je ne peux que m’interroger. De très belles idées mais…. où est la réalité ?........

Un centre peut-il vraiment exister ?
N'est­-ce pas une utopie, une très et trop belle idée ?

« Le pouvoir est l’aphrodisiaque suprême » (Henry Kissinger) alors qu’il devrait être fait, « non pour servir le pouvoir des heureux mais, pour la délivrance de ceux qui souffrent injustement » (Abbé Pierre 


Dimanche 11/01/2015 : Je m'aperçois que la vidéo que j'avais reçue et dont j'avais mis le lien sur cet article a disparu. 
Désolée mais, je ne sais ce qui s'est passé ! Vidéo dérangeante ?
Au nom de cette liberté d'expression pour laquelle nous nous battons aujourd'hui, je désapprouve cette disparition !
Personnellement, je ne portais pas de jugement sur cette affaire mais, simplement, des informations qui me semblaient nécessaires pour comprendre et qui permettaient d'entendre deux "sons de cloche" ! Il est possible que des raisons que j'ignore aient amené à enlever cette vidéo mais, je tiens à dire que, personnellement, je n'y suis pour rien. 

 C'est à la justice de faire son travail aujourd'hui ! 


« Gouverner, c'est maintenir les balances de la justice égales pour tous. »

(Franklin Delano Roosevelt)

dimanche 4 janvier 2015

Bonne année


Tous mes voeux de bonheur pour cette nouvelle année !!!!
A lire - à consulter...