Le 1er juillet, la TVA sur la restauration passera du taux général de 19,6% au taux préférentiel de 5,5% .
La liberté ! Je l’avais enfin et, avec elle, je partais à la conquête de la capitale de la Gascogne !
Je découvrais, trônant fièrement à l’extrémité des allées, la cathédrale Ste Marie de style gothique. Contiguë à cet édifice, la préfecture, ancien palais archiépiscopal, s’impose avec sa belle façade aux pilastres cannelés d’ordre corinthien.
Quel plaisir nous avions de flâner, nos cours achevés, dans les « pousterles », ses ruelles médiévales pentues qui se terminaient aux portes de l’enceinte de la ville et permettaient autrefois aux habitants d’aller chercher l’eau à la rivière.La statue de d’Artagnan s’élève au milieu d’un escalier monumental. Nous arrivions essoufflées mais, heureuses de ce bonheur que confère l’insouciance de la jeunesse, après avoir gravi ces 370 marches ! (extrait de "Au risque de me perdre")
Cette baisse de la TVA avait fait l'objet en 2002 d'un engagement électoraliste de Jacques Chirac.
Comment un Etat «en faillite», (d'après les dires du Premier ministre François Fillon) peut-il s'autoriser un cadeau fiscal évalué à 2,5 milliards d'euros par la Cour des Comptes.
Cette perte de recettes fiscales devrait être compensée par l'annulation des aides sur les charges sociales, que François Fillon, alors ministre de Jacques Chirac, avait accordées en 2004 aux restaurateurs André Daguin. Celui-ci a été président de l'Union des Métiers de l'industrie hotelière. Christine Pujol, hotelière dans la région de Carcassonne lui succèdera en 2008.
Parmi les revendications d'André Daguin, figurait la baisse du taux de TVA dans la restauration.
C'était un auscitain auquel on reprochait bien souvent un "franc-parler", membre du blog "Des grandes Gueules" !
Un gascon, comme moi.....
Suivez moi dans la découverte d'Auch où j'ai fait une partie de mes études.....
La liberté ! Je l’avais enfin et, avec elle, je partais à la conquête de la capitale de la Gascogne !
Je découvrais, trônant fièrement à l’extrémité des allées, la cathédrale Ste Marie de style gothique. Contiguë à cet édifice, la préfecture, ancien palais archiépiscopal, s’impose avec sa belle façade aux pilastres cannelés d’ordre corinthien.
Quel plaisir nous avions de flâner, nos cours achevés, dans les « pousterles », ses ruelles médiévales pentues qui se terminaient aux portes de l’enceinte de la ville et permettaient autrefois aux habitants d’aller chercher l’eau à la rivière.La statue de d’Artagnan s’élève au milieu d’un escalier monumental. Nous arrivions essoufflées mais, heureuses de ce bonheur que confère l’insouciance de la jeunesse, après avoir gravi ces 370 marches ! (extrait de "Au risque de me perdre")
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