dimanche 11 octobre 2009

Tarifs écolos !


Voilà ce que je découvre ce matin dans la presse et, je trouve sympathique de passer l'information !!!!

"Pour relancer la demande dans son bordel berlinois éprouvé par la crise, Regina Götz verse désormais dans l'écologie, avec des tarifs allégés pour les cyclistes et usagers des transports en commun.
L'environnement est un thème qui est sur toutes les lèvres et par ici, il est difficile de se garer. D'où l'idée d'une 'ristourne écolo' de cinq euros pour qui renonce à venir en voiture.
Au tarif pro-nature, la passe d'un quart d'heure est à 25 euros au lieu de 30 !
Pour en profiter, "les clients cyclistes montrent leur casque ou la clé de leur cadenas. D'autres présentent leur ticket ou leur carte mensuelle de transports en commun, comme quand on monte dans le bus", explique-t-elle.
Les clients sont de tous âges et tous milieux "et le doyen a 86 ans", selon la patronne.
Pour Regina Götz, le bordel fonctionne "comme n'importe quel autre commerce". La prostitution est un secteur légal en Allemagne, qui emploie plus de 400.000 personnes."

La prostitution est tolérée en Espagne et les maisons closes sont nombreuses. Les filles sont sympas et, je reconnais avoir passé un moment agréable en leur compagnie à discuter.....au bar !!!!! Face à la crise l'Espagne pratique-t-elle aussi les "prix doux" pour écolos ????

"Lors d'un voyage à Vielha avec un ami, ma curiosité est aiguisée alors que nous visitons le village. Mon regard est attiré par un porche joliment décoré de faïences. Mon ami me dit alors qu'il s'agit d'une " maison de passe". La prostitution est tolérée et contrôlée en Espagne. Je lui demande de m'y amener le soir. Il hésite. Une femme dans ces endroits là est assez mal vu. Il cède devant mon insistance et le soir venu, nous allons boire un verre.
Nous pénétrons dans une salle de taille moyenne et peu éclairée dont le bar occupe une grande partie. Quelques personnes sont assises sur de hauts tabourets, d'autres disséminées dans la salle. Mon arrivée est observée avec curiosité mais, je ne ressens aucune animosité. Nous nous installons au comptoir et commandons des boissons. Deux femmes viennent s'assoir à mes côtés et nous discutons. La plus forte avec une énorme poitrine est russe et parle très bien le français. Je me surprends à jeter un regard vers ce décolleté opulent et provocant ! Il est vrai que mes petits seins à côté me semblent bien ridicules ! L'autre est d'un pays de l'Europe de l'Est mais ne cause pas ma langue. Nous « baragouinons » en espagnol !
La musique me donne envie de danser. Je commence à me trémousser lascivement sur mon siège ; la Russe me prend par la main et, nous allons sur la piste. On nous regarde en souriant mais sans agressivité. Je me surprends à être bien dans ce cadre aussi inhabituel. La gentillesse de ces filles aura raison de toute réserve. Ce qui fera dire à mon ami que c'était la première fois qu'il se sentait bien en amenant une femme dans un tel endroit. Il a même cru que j'allais disparaître et suivre cette fille dans une des chambres à l'étage ! Quand même ! Ma curiosité et ma sympathie pour cette personne n'allaient pas jusque là ! " (extrait de "Au risque de me perdre")

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