
"9% des 18-65 ans, scolarisés en France, sont illettrés, selon une enquête Insee de 20O5. Soit ils n'ont pas acquis la maîtrise suffisante de la lecture, de l'écriture et du calcul, soit ils ont désappris. Parmi ces personnes, "57% sont en situation d'emploi", explique Hervé Fernandez, de l'Agence nationale de lutte contre l'illettrisme (ANLCI)."
Dans le domaine de la construction, les difficultés à décoder des messages de sécurité et plusieurs échecs de salariés à des tests théoriques pour conduire des engins de chantier ont alerté les dirigeants.

Direction et syndicats ont conclu en 2008 un accord proposant aux volontaires 100 à 200 heures de cours de calcul, orthographe, etc. (dont 80% sur le temps de travail).
Chez Carrefour, la formation "Evolupro" lancée en 2008 a permis à une cinquantaine de volontaires de quatre magasins du nord de Paris de bénéficier de sept heures de cours par semaine, pendant six mois, sur leur temps de travail.
"Ca leur permet de comprendre les consignes et procédures, de s'exprimer clairement et d'écrire", par exemple sur les affichettes des fruits et légumes, explique Jérôme Gantin, directeur de la formation des hypermarchés.
Devant de tels articles, on ne peut que s'interroger.... Le problème devrait se régler bien avant ! Que doit-on faire ? N'est ce pas effrayant de découvrir ce problème alors que les personnes travaillent ? C'est effrayant, voire même, hallucinant !
"Quand on s'aperçoit que 60% des enfants arrivent au collège avec de sérieuses difficultés pour lier et écrire, ne doit-on pas se poser des questions ?
Est-ce uniquement la faute de l'école ? Le problème ne serait-il pas plus large ? La population scolaire n'a-t-elle pas changé ?"
"J'assiste à une séance d'alphabétisation dans un centre social. Mon désir

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