La ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie a exprimé l'ambition de faire de la prison française, souvent qualifiée d'"école du crime", "l'école de la lutte contre la récidive"
La ministre s'est attachée à défendre les dispositions controversées adoptées ces derniers jours par la commission des lois de l'Assemblée, tel que le renoncement au principe de l'encellulement individuel, jusqu'alors inscrit dans la loi mais rendu inapplicable par la surpopulation carcérale.
"Le principe de l'encellulement individuel sera applicable à l'achèvement du programme" de construction en cours, avec 68.000 places au total en 2017, a-t-elle fait valoir.
La ministre a aussi défendu le recours à des sanctions alternatives à l'emprisonnement, tels que le placement sous bracelet électronique, et réaffirmé son hostilité aux aménagements de peine pour les récidivistes.
"La prison, telle que vous l'envisagez, est inefficace pour faire baisser la délin
quance, et incapable d'empêcher la récidive", a affirmé M. Urvoas, au nom du groupe SRC (socialiste, radical, citoyen).
Je répondrai à ces articles trouvés ce matin dans la presse par une seule phrase que les gouvernements devraient méditer :
« Celui qui ouvre une porte d'école, ferme une prison. » Victor Hugo
Et, depuis quelque temps on ferme des écoles !!!!
Si la réciproque est vraie, si celui qui ferme une école, ouvre une prison, on n'est pas dans la m..... !!!!!
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